la véritable nature de l’art…

En termes simples, nous hébergeons et nourrissons de l’art contemplatif, de l’art qui, à sa manière, témoigne de la grande expérience de l’âme humaine et qui donne vie à votre espace.

Notre but, développez le réseau de L'art

Que les apôtres du « tout est de l’art si nous décidons que c’en est » soit d’accord ou non, tout art n’est pas habité, et heureusement, car c’est ce qui en fait quelque chose de précieux, engendré par un don particulier. Sinon, cette première affirmation serait l’équivalent de prétendre que tout dans la vie est vrai, et que rien ne se cache derrière le piège des apparences, de la manipulation ou du mensonge ! C’est une aberration. On ne doit pas confondre l’absurde des surréalistes à l’idiotie, de la même façon l’ironie ne peut pas n’être que hautaine et méprisante, elle doit aussi laisser filtrer et offrir en contrepartie l’espoir du vrai, ou du renouveau. Une figuration simple, par exemple, mais prenante, ou un jet lumineux, bien que minimaliste, peuvent aussi bien l’une que l’autre mettre au-devant une inspiration large et légitime. La complexité ou l’étrange n’est pas un prérequis, bien que la folie du foisonnement ou le chaos de la tempête puissent aussi nous soulever. L’originalité est importante, mais on ne doit pas en faire la seule règle, surtout si on l’a cherché avec la seule motivation de se faire remarquer, et qu’on se place dans un positionnement soi-disant distinctif uniquement en vue d’un profit et d’un gain personnel, et qu’à ce prix, on se soit éloigné de l’essentiel : la capacité à révéler la présence du mystère, et le bonheur de pouvoir le partager afin que tous s’en abreuvent à satiété.

 

Notre réalité, faire connaître nos Artistes

Je nourris le rêve d’établir une collaboration en créativité ouverte aux gens de toutes provenances et milieux qui se verrait soutenus par trois piliers fondateurs : un regroupement d’artistes multidisciplinaires, incluant les passionnés des arts de la table, un ensemble de gens d’affaires intéressés par les notions et les applications variées de la créativité, et une ou plusieurs fondations qui comprennent que leurs sphères d’activités et d’engagement autant que leur personnel pourraient en bénéficier. Les codes d’usages et les permis qui y sont rattachés ouvrant, grâce à un concours de circonstances, à une palette de possibilités exceptionnellement large. Voilà une raison de plus qui permet d’y rêver.

 

 

Nos choix

Si quelqu’un tenait à insister, la galerie pourrait la trouver coupable d’un certain élitisme en ce qu’elle tient mordicus à un seul principe : la poésie, qu’elle soit par la forme, la lumière ou la couleur, ou traduite par une subtile relation entre objets, par exemple, doit nous émouvoir, elle doit avoir cette qualité intrinsèque qui permet de rejoindre et d’éveiller notre intériorité, peu importe les moyens; donner accès à une connexion (oubliée ?) avec nous même, et par la même occasion, avec la part de l’invisible dans le monde. Le voyage de tête, c’est très peu pour nous, et l’esthétisme vide, bien sûr, nous déçoit. L’art a toujours été le vecteur d’un sens du sacré : on a tendance à l’oublier avec toutes les nomenclatures, les justifications et les qualificatifs qu’on lui prête aujourd’hui. L’art a maintenant le dos très large.  La réalité de cette « essence » pourrait référer au grand principe de l’unité qui perdure malgré la multiplicité des formes et manifestations, ou que l’immuabilité reste souveraine, bien que quelques fois souterraine, dans le changement ou l’impermanence, en quelque sorte !